La promesse d'une belle journée, exposition en duo avec Marcin Sobolev du 28 mars au 27 avril 2024, Reuter Bausch Gallery, Luxembourg.

« De prime abord, les peintures de plantes de Clément Davout sont séduisantes. On les dirait même instagramables, et pour cause, elles jouent de certains codes du
réseau social (format flirtant sans y céder avec le carré, cadrage, couleurs vives...), mais, à la façon des Nouveaux réalistes en leur temps des ficelles publicitaires, les
mettent en abyme. De là une distanciation qui rapproche ces peintures de plantes d’une « peinture d’histoire végétale », non dénuée d’un puissant pouvoir d’évocation
sensorielle.. (...) »
Xavier Bourgine

Clément Davout, Reuter Bausch, exhibtion view 1, 2024

Clément Davout, Reuter Bausch, exhibtion view 2, 2024

Clément Davout, Reuter Bausch, exhibtion view 3, 2024

Clément Davout, Reuter Bausch, exhibtion view 4, 2024

Clément Davout, Reuter Bausch, exhibtion view 5, 2024

Clément Davout, Reuter Bausch, exhibtion view 6, 2024

Photos : Samantha Wilvert




Clément Davout & Laurent Turping, exposition en duo du 28 octobre au 26 novembre 2022, Reuter Bausch Gallery, Luxembourg.

« Clément Davout peint des ombres de plantes. Dans un court texte de présentation de son travail, il écrit qu'il pratique une peinture « à tendance figurative ».
L'expression est remarquable, elle situe l'oeuvre dans un entre deux, une zone grise. L'ombre en effet n'est pas le motif lui-même mais déjà sa projection.
Celles peintes par Clément Davout sont diffuses, évanescentes, mobiles, elles ne relèvent donc moins du dessin que de « la matière qui aspire à la forme » selon les
mots d'Hubert Damisch au sujet du nuage. (...) »
Romain Mathieu

Clément Davout, Reuter-Bausch, exhibtion view 1, 2022

Clément Davout, Reuter-Bausch, exhibtion view 2, 2022

Clément Davout, Reuter-Bausch, Métal qui luit, 2022

Clément Davout, Reuter-Bausch, exhibtion view 6, 2022

Clément Davout, Reuter-Bausch, exhibtion view 8, 2022







TLN ux 21, exposition en duo avec Marie Lelouche du 15 octobre au 12 novembre 2022, Le port des créateurs, Toulon.
Commissariat Léo Fourdrinier et Stéphane Santamaria.

« (...) Sur ses toiles l'artiste fixe la représentation d’un paysage intérieur en utilisant les plantes d’espaces domestiques comme modèles : dans un rapport sociologique,
celles-ci relèvent d’une histoire collective liée à la circulation et la commercialisation des végétaux. Son processus de création accouple plusieurs sens : après avoir
photographié les plantes observées l’artiste les traite dans différents outils numériques - dont Instagram, pour générer l’espace coloré du dégradé présent dans ses
toiles. L’espace privé y est à nouveau suggéré, celui du stockage de données, d’identité, de fenêtre présent dans nos téléphones connectés. Dans la série des cinq
tableaux le rapport au touché et à la surface apparait dans les formes organiques des plantes réduites ici a des courbes dynamiques et minimales, frôlant l’abstraction.
Dans son diptyque le même palmier apparait à deux reprises, comme deux perceptions décalées d’un même espace. Sa peinture, dénuée de présence humaine,
émancipe les plantes de tout contrôle et ramène au premier plan la sensibilité vitale des végétaux à la lumière dans une temporalité qui nous est étrangère :
une croissance lente nous imposant une certaine humilité. »
Léo Fourdrinier

Clément Davout, Le port des créateurs, exhibtion view 1, 2021

Clément Davout, Le port des créateurs, exhibtion view 2, 2021

Clément Davout, Le port des créateurs, exhibtion view 3, 2021

Clément Davout, Le port des créateurs, exhibtion view 4, 2021

Clément Davout, Le port des créateurs, exhibtion view 5, 2021

Photos : Léo Fourdrinier







Je compte ses mouvements, exposition en duo avec Mimi Kunz du 23 au 26 janvier 2020, MAAC, Bruxelles.
Commissariat Lucie Pinier.

« Le sujet de sa peinture est la plante, les plantes de son intérieur. Elle oscille entre un point de netteté et le flou, le brouillard.
L’image possède une puissance évanescente. La plante dans un même mouvement apparait et disparait, se montre et se dérobe dans un jeu de brume et d’ombre.
Auparavant, le sujet plante occupait l’entièreté de la surface de la toile. Actif sur les réseaux sociaux pour montrer l’avancement de sa pratique via les stories
Instagram, Clément a provoqué une nouvelle composition en utilisant les paramètres de cet outil digital. Le sujet-plante est principal mais est replacé,
composé, ajusté dans l’espace de la toile sur lequel est couché un dégradé coloré reprenant les deux dominantes chromatiques de la peinture. Très différemment
de par la nature du sujet, sensiblement proche de par la répétition du même sujet, cherchant davantage la coordination entre le geste et le souffle, la technicité,
la couleur, l’ombre, la composition, j’y trouve une affinité avec la peinture de Morandi. »
Lucie Pinier

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 1, 2020

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 2, 2020

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 3, 2020

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 4, 2020

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 5, 2020







Où sont les taxons, exposition en duo avec Léo Fourdrinier du 20 au 24 mars 2018, Le Confort Moderne, Poitiers.

« Dans leur exposition collective "Où sont les taxons ? Clément Davout et Léo Fourdrinier invitent leurs alter ego fictifs, Jonathan Cyprès & Cécile Gallo à les rejoindre
dans un jeu de piste (...) »
Guillaume Chiron

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 1, 2018

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 2, 2018

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 3, 2018

Clément Davout, Je compte ses mouvement, exhibtion view 4, 2018

Photos : Léo Fourdrinier